L'horreur est humaine
Quidamn
GENRE
[Couplet 1]
Paraîtrait qu'le silence est la réponse des sages
Dans ce cas nos rues, toutes, portent le nom des impertinents
Une douce pluie coule le long de l'imperméable
Mes oreilles calées dans le casque apprécient ce moment d'abstinence
Le regard des gens, tous abrutis par le câble
Ces clones qui sе regardent de travеrs dans les yeux d'autres quidams
Les vitrines s'illuminent, mais ferment tour à tour
Tôt ou tard on finira par vendre les âmes
Mais pas rendre les armes, ça serait trop bénéfique
Ca nous ferait oublier que l'horreur est humaine et pandémique
Tu brilles dans la nuit, laisse ton empreinte en cursif
Et comme n'importe quelle vitrine, tu finis par t'obscurcir
Inévitable
[Couplet 2]
La réponse du sage, la sagesse du fou
Ces mauvais présages, ces vérités taboues
Les pieds sur l'asphalte face à ce rien qui forment un tout
Au plus près des nuages, j'entends les piafs chanter l'amour
Du moins je les imagine, dans les flaques d'eau ou de pétrole
Ne lève jamais la tête car supporte mal le frivole
Et ce soir je noie ma peine dans quelques verres d'alcool
Dans les vapeurs d'opium et dans les grandes plaines d'Elysium
[Couplet 3]
L'amour est aveugle, pour ça que lorsque vos langues se mêlent
Vos yeux coupables cachent la vérité sous les paupières
Vide, vider le verre, respirer l'éther
Explorer les terres de son âme et se taire
Côtoyer le ciel, du bleu sur le corps
L'espoir est mort : vive l'espoir et le temps
Autant en emporte le vent, de mes craintes et mes songes
Que je couche sur papier une fois que la Lune reprend son trône
Mes combats sont vanité, mes rêves sont alités
Car dans mes rêves, je rêve de pouvoir rêver
De pouvoir m'élever au-dessus de la masse
De briser les castes et m'évanouir incognito
Que personne ne se souvienne que je demeure ce quidam
Parmi tant d'autres dans l'Histoire, ad vitam æternam
[Outro]
Les pieds sur l'asphalte face à ce rien qui forment un tout (un tout)
Face à ce rien qui forment un tout, j'entends les piafs chanter l'amour (ah)
J'entends les piafs chanter l'amour
Paraîtrait qu'le silence est la réponse des sages
Dans ce cas nos rues, toutes, portent le nom des impertinents
Une douce pluie coule le long de l'imperméable
Mes oreilles calées dans le casque apprécient ce moment d'abstinence
Le regard des gens, tous abrutis par le câble
Ces clones qui sе regardent de travеrs dans les yeux d'autres quidams
Les vitrines s'illuminent, mais ferment tour à tour
Tôt ou tard on finira par vendre les âmes
Mais pas rendre les armes, ça serait trop bénéfique
Ca nous ferait oublier que l'horreur est humaine et pandémique
Tu brilles dans la nuit, laisse ton empreinte en cursif
Et comme n'importe quelle vitrine, tu finis par t'obscurcir
Inévitable
[Couplet 2]
La réponse du sage, la sagesse du fou
Ces mauvais présages, ces vérités taboues
Les pieds sur l'asphalte face à ce rien qui forment un tout
Au plus près des nuages, j'entends les piafs chanter l'amour
Du moins je les imagine, dans les flaques d'eau ou de pétrole
Ne lève jamais la tête car supporte mal le frivole
Et ce soir je noie ma peine dans quelques verres d'alcool
Dans les vapeurs d'opium et dans les grandes plaines d'Elysium
[Couplet 3]
L'amour est aveugle, pour ça que lorsque vos langues se mêlent
Vos yeux coupables cachent la vérité sous les paupières
Vide, vider le verre, respirer l'éther
Explorer les terres de son âme et se taire
Côtoyer le ciel, du bleu sur le corps
L'espoir est mort : vive l'espoir et le temps
Autant en emporte le vent, de mes craintes et mes songes
Que je couche sur papier une fois que la Lune reprend son trône
Mes combats sont vanité, mes rêves sont alités
Car dans mes rêves, je rêve de pouvoir rêver
De pouvoir m'élever au-dessus de la masse
De briser les castes et m'évanouir incognito
Que personne ne se souvienne que je demeure ce quidam
Parmi tant d'autres dans l'Histoire, ad vitam æternam
[Outro]
Les pieds sur l'asphalte face à ce rien qui forment un tout (un tout)
Face à ce rien qui forment un tout, j'entends les piafs chanter l'amour (ah)
J'entends les piafs chanter l'amour
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