Montecalvario
Tim Dup
GENRE [Paroles de "Montecalvario"]
Au soleil une sieste, sous le plomb des quinze heures
Le bouquet enflammé que distille le parfum des fleurs
C'est là, sur les hauteurs d'un quartier de Napoli
Qu'elles s'étaient rencontrées, elles s'étaient souri
Reflets béryls sur le saphir, les Madonetta de calcaire
Au loin les voiliers filent vers les îlеs du bord de mer
Les bargеs frêles des pêcheurs longeant la côte amalfitaine
Avec au fond du cœur les chansons d'été italiennes
Je l'ai cherchée Via Toledo et puis sur le ferry
Passé le Cap Posillipo en direction de Capri
Et j'ai couru dans les rues pour faire comme au cinéma
Mais tout ça n'arrive plus dans la vraie vie des gens d'en bas
Elles se sont imaginées se retrouvant sur une place
L'une rêvassait, et l'autre était en terrasse
Du haut des falaises d'ocre elles plongeaient à la verticale
Au fond du lapis-lazuli, les corps brûlants panés de sable
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
Je suis allée au belvédère de Montecalvario
Avant que l'étoile solaire ne se lune pianissimo
Pour espérer deviner, dans le soir, son ombre passante
Un indicible pochoir contre le crépis jaune hélianthe
L'une s'en voudra toujours de n'avoir su faire attention
D'avoir égaré la seule chose qui puisse les emmêler
Elle a perdu le papier sur lequel étaient couchés
D'un trait fin à l'encre bleu, son adresse et son prénom
Au soleil une sieste, sous le plomb des quinze heures
Le bouquet enflammé que distille le parfum des fleurs
C'est là, sur les hauteurs d'un quartier de Napoli
Qu'elles s'étaient rencontrées, elles s'étaient souri
Reflets béryls sur le saphir, les Madonetta de calcaire
Au loin les voiliers filent vers les îlеs du bord de mer
Les bargеs frêles des pêcheurs longeant la côte amalfitaine
Avec au fond du cœur les chansons d'été italiennes
Je l'ai cherchée Via Toledo et puis sur le ferry
Passé le Cap Posillipo en direction de Capri
Et j'ai couru dans les rues pour faire comme au cinéma
Mais tout ça n'arrive plus dans la vraie vie des gens d'en bas
Elles se sont imaginées se retrouvant sur une place
L'une rêvassait, et l'autre était en terrasse
Du haut des falaises d'ocre elles plongeaient à la verticale
Au fond du lapis-lazuli, les corps brûlants panés de sable
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
La-la-la, la-la-la-la-la
Je suis allée au belvédère de Montecalvario
Avant que l'étoile solaire ne se lune pianissimo
Pour espérer deviner, dans le soir, son ombre passante
Un indicible pochoir contre le crépis jaune hélianthe
L'une s'en voudra toujours de n'avoir su faire attention
D'avoir égaré la seule chose qui puisse les emmêler
Elle a perdu le papier sur lequel étaient couchés
D'un trait fin à l'encre bleu, son adresse et son prénom
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